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Mise à jour le 11/05/2017 , par Asso - AFLAR

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"Je ne suis pas écouté"

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Lorsque l’on est malade, il est difficile de trouver les mots pour exprimer ce que l’on ressent. Il n’est pas toujours aisé de se faire comprendre par les personnes de son entourage qui peuvent avoir des idées préconçues sur l’arthrose.

Ce qu’il faut savoir
Lorsque l’on est malade, il est difficile de trouver les mots pour exprimer ce que l’on ressent. Il n’est pas toujours aisé de se faire comprendre par les personnes de son entourage qui peuvent avoir des idées préconçues sur l’arthrose. Certains choisissent alors de ne pas parler de la maladie.

Lors des consultations, il peut arriver d’avoir le sentiment que les professionnels de santé minimisent nos propos. Dans certaines situations, on préfère ne pas tout dire à son médecin de peur de l’ennuyer ou de lui faire perdre son temps. Pourtant, il est indispensable de pouvoir parler de sa maladie pour être mieux aidé, accompagné et pris en charge.

Idées fausses
« Mon médecin n’a pas la temps de m‘écouter »
« Mes proches ne comprennent pas ma maladie »

En exprimant ce que l’on ressent d’un point de vue physique mais aussi émotionnel à son médecin, on aide ce dernier à mieux nous comprendre. Il peut ensuite adapter notre prise en charge (traitements, orientation vers d’autres professionnels de santé…) à nos besoins.

De plus, lorsque l’on est malade, il est important de se sentir entouré et soutenu. Pour ce faire, il faut expliquer à ses proches ce que l’on ressent et l’impact de la maladie sur la vie quotidienne.

Témoignage de Charles D.

Charles DF. témoigne

Charles est âgé de 58 ans, est atteint d’une arthrose des membres supérieurs, des pieds, des hanches et du dos depuis une vingtaine d’années déjà. La douleur est constante et nuit à ses performances professionnelles. Charles regrette notamment que la souffrance au travail ne soit pas prise en compte. Le salarié ne peut pas demander à adapter son emploi sans se trouver en position de vulnérabilité. De plus, l’arthrose est considérée comme une maladie normale, liée au vieillissement, alors que cette maladie peut aussi atteindre des personnes en activité professionnelle comme lui.

Les traitements proposés contre les douleurs de l’arthrose ne le satisfont pas en raison du risque d’effets indésirables de ces médicaments qui doivent être pris tout au long de la vie. C’est pourquoi Charles préfère privilégier les cures thermales et l’activité sportive, notamment la natation qui s’avère efficace pour soulager les douleurs.

Témoignage de Monique D.

Monique Dumont témoigne

Monique souffre d’arthrose depuis l’âge de 40 ans. La gêne liée à l’arthrose l’a amenée à réaménager sa maison (cuisine, salle d’eau, retrait des tapis…) pour préserver son autonomie.
Parfois frustrée du manque d’informations échangées avec son médecin généraliste, cette patiente préfère faire suivre son arthrose par un rhumatologue. Outre les traitements médicamenteux, une gymnastique quotidienne lui permet de lutter contre la douleur. Monique pratique également la balnéothérapie et les cures thermales, dont elle se montre satisfaite.

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