Pour lutter contre les idées reçus sur l’arthrose et sur l’indifférence du grand public devant cette maladie, l’Alliance Nationale Contre l’Arthrose a été lancée en décembre 2011 à l’initiative de l’AFLAR (Association Française de Lutte Anti-Rhumatismale). Créée en 1928, l’AFLAR, reconnue d’utilité publique depuis 1936, regroupe des patients, des associations et des professionnels de santé. De même, l’Alliance Nationale Contre l’Arthrose rassemble et mobilise toutes les parties prenantes de la prise en charge.
Mieux rendre visibles les véritables conséquences de l’arthrose et optimiser la prise en charge et le suivi des patients arthrosiques sont les deux enjeux principaux qui ont motivé la création de l’Alliance Nationale Contre l’Arthrose.
Six ans après une enquête inédite qui explorait pour la première fois les dimensions de la maladie jusque là peu explorées, l’Association Française de Lutte Anti-Rhumatismale (AFLAR*) vous invite à répondre à un nouveau questionnaire en ligne afin de mieux vous connaître et vous comprendre :
De novembre 2012 à mai 2013, plus de 4 500 personnes y ont répondu et 2914 réponses ont pu être exploitées : c’est la première fois que les besoins et attentes des patients sont explorés avec une enquête d’une telle envergure.
Lutter contre les idées reçues et sensibiliser le grand public, les professionnels de santé et les autorités sanitaires sur l’arthrose, tels étaient les objectifs de l’enquête Stop-Arthrose.
La plupart des gens considèrent que c’est une usure liée au vieillissement contre laquelle les moyens sont limités, alors que c’est une véritable maladie.
Près de neuf répondants sur dix (89,4 %) citent la douleur comme leur principale difficulté. Chez un tiers d’entre eux, elle est permanente. Chez un tiers, elle survient de manière imprévisible. Chez la moitié, elle varie avec l’activité physique.
Neuf répondants sur 10 sont en quête de solutions pour soulager leurs douleurs et les deux tiers pour améliorer leur mobilité. 70% estiment que le suivi médical devrait être amélioré, voire 85,1% de ceux dont les revenus sont inférieurs à 1 000 euros par mois.
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